« La grande différence, c’est qu’à Nice, il jouait à son poste : attaquant de complément. Alors qu’à l’OM, seul devant, il est à contre-emploi depuis le jour de sa signature. Germain joue deux matchs, puis Mitroglou trois, puis de nouveau Germain… Quand on sait qu’un attaquant marche à 95 % à la confiance, c’est compliqué », a lancé l’ancien attaquant phocéen à 20 Minutes.