« Sur le transfert de Mario, j’ai eu le plaisir de discuter une fois au téléphone avec Jacques-Henri Eyraud au tout début, mais pas le plaisir de m’asseoir autour d’une table et discuter avec lui tranquillement sur ce fameux transfert. Est-ce que l’épisode Balotelli a laissé des traces ? Non, ça fait partie de la vie d’un club de football. Le mercato, on le sait, n’est jamais simple, que ce soit pour le club vendeur ou le club acheteur. C’est un épisode du mercato, puis on en parle plus », a lancé le président niçois au micro de Canal+ Sport.
Rivère a par ailleurs révélé avoir été proche de quitter les Aiglons, en raison de tensions avec les actionnaires sino-américains : « Au moment où on s’apprêtait à partir, on a vu arriver beaucoup d’agents de joueur qui nous ont dit »il y a un projet, si vous partez, un tel partira, un tel aussi. » Des salariés qui sont à des postes clés sont venus nous voir pour nous dire qu’ils partiraient si on partait. Avec Julien (Fournier), on s’est dit qu’on mettait en danger le club. »
"Vous avez hésité à partir ?"
"Ah, pas hésité, pour moi j'étais parti."
Jean Pierre Rivère, le président de Nice se confie à @OLIVETALLARON
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— Canal Football Club (@CanalFootClub) 19 octobre 2018