« C’est un outil supplémentaire. Plus on dispose d’outils pour nous aider, mieux cela est et plus on a de chances de remplir notre mission de la meilleure des manières », a-t-il expliqué au quotidien L’Equipe. Il apprécie son apport : « Moi, ça me rassure. Ce qui nous tient à coeur c’est de ne pas faire d’erreur et de créer l’injustice. Quand c’est le cas, on le vit mal. Aujourd’hui, on a en quelque sorte une bouée de sauvetage qui corrigera une erreur grossière. On a l’occasion de se rattraper en direct, cela enlève une certaine forme de pression. » Il pense qu’il faut laisser du temps à la technologie : « Au bout de plusieurs saisons, on sera apte à porter un vrai jugement », a-t-il conclu.
La VAR n’a pas empêché l’arbitre international de passer à côté du penalty sur Valère Germain, lors de Nîmes-OM (3-1).