« Ce ne sont pas tellement eux qui changent. C’est le regard des autres qui change. Le regard des adversaires, de tout le monde, a déclaré le sélectionneur en conférence de presse. Un par un, ce sont les mêmes, mais on y ajoute »champions du monde ». S’ils font quelque chose de bien, ce sera sans doute très bien. Ou s’ils font quelque chose de mal, ce sera très mal. J’ai été très attentif à nos matchs de rentrée en septembre, dans un contexte particulier. Ils sont là. On est dans la compétition. Ce titre n’est pas une finalité. Pour la grande majorité des joueurs, ils sont très jeunes. Il n’y a rien de mieux, ça doit les galvaniser. Et les aider à continuer à être performant et à progresser. »