« Les instances du football mettent effectivement sur un pied d’égalité un fumigène, un salut nazi et des violences, a lancé l’ancien officier supérieur du GIGN dans les colonnes de La Provence. Il n’y a pas de hiérarchie des normes. C’est très étonnant. Je ne suis pas issu du monde du football et j’ai du mal avec ça. En séminaire, on passe énormément de temps à parler de pyrotechnie alors que, à mon sens et peut-être que je me trompe, on évoque peu les vrais sujets qui sont la gestion de la foule, des flux, des potentiels actes terroristes… C’est invraisemblable ! »