« On ne peut pas avoir de regrets quand on prend 4-0. C’est une sale soirée, voilà. Le travail des deux semaines nous a permis de tenir une heure, a-t-il déclaré aux journalistes. On est trop fragile, dès qu’on prend ce but évitable, c’est dans les têtes que ça se passe. Marseille n’a pas besoin de beaucoup de situations, les deux premiers tirs cadrés ont fait mouche. Les premiers matches sont très bons, contre Saint-Étienne, le PSG, mais ça ne sourit pas et on n’arrive pas à faire basculer la réussite de notre côté. L’enchaînement des défaites amène le doute, la fragilité. Le travail va consister à les aider. »