« Il est plus technique qu’on ne le pense. Il est un peu victime de son aspect, de sa nature de jeu ; ce qui m’a plu, c’est qu’il nous a servis dos au but, il est venu toucher des ballons, décrocher, il a bataillé avec Glik et Jemerson, a rappelé le technicien phocéen dans La Provence. Et quand il a des ballons dans la surface, il cadre ou il marque. Pendant le mercato, je me demandais ce que pensait Kostas quand il lisait, entendait parler tous les jours de Balotelli. Mais il a toujours dit : « Je serai là, je ferai tout pour jouer, même s’il y a un attaquant de plus ». Et Valère aussi. À eux d’être bons pour m’obliger à les titulariser. Mais je ne les titulariserai pas toujours. »