« Ma première partie de saison, c’était moi, j’ai montré ce dont j’étais capable même si je pouvais faire beaucoup plus. Mais en deuxième partie de saison, c’était plus poussif, plus compliqué. J’ai essayé de faire le maximum, j’ai eu quelques pépins physiques, et j’ai eu un peu plus de mal… Pourquoi? Je ne sais pas », a-t-il expliqué dans les colonnes de La Provence. Et d’ajouter : « Je n’arrive toujours pas à l’expliquer. La blessure m’a un petit peu freiné, mais on ne va pas mettre la faute sur ça. La cassure, je la situe après la blessure. On fait 120 minutes en coupe de France (contre Valenciennes), je marque mon premier but avec l’OM et on se qualifie. La semaine suivante, je me pète à l’entraînement. Je me suis soigné, et quand je suis revenu, c’était poussif. On ne peut pas être bon tout le temps. Il faut juste être mauvais le moins possible… »
« Je cogite toujours sur ce que j’ai fait »
Le latéral n’a pas non plus été au mieux, en août : « Je suis content de mon match contre Toulouse. À Nîmes, c’était compliqué… Et contre Rennes, on a montré deux visages, c’était poussif en première mais on a retrouvé l’OM qu’on connaît en deuxième, celui capable de revenir au score.(…) Août ? Je me mettrai la moyenne, 5 sur 10. Je sais de quoi je suis capable et je ne suis pas trop satisfait de moi. Il faut que je sois régulier, bon et décisif. Je cogite toujours sur ce que j’ai fait. Quand je rentre après le match, j’ai un assistant personnel qui m’envoie des montages vidéos, en plus des débriefings du club, pour travailler et corriger, voir ce qui est bien ou pas. »