« Hormis Jacques-Henri Eyraud, que je trouve pondéré, intervenant à bon escient, je ne connais pas encore bien les autres présidents de Ligue 1. Mais eux me connaissent au moins de nom, donc c’est plus facile. Je suis aussi très ami avec Vincent Labrune, à qui je tire mon chapeau. Coincé entre les supporters marseillais, dont la passion vous avale, et son actionnaire, il s’en est pas mal tiré au final », a lâché l’intervieweur politique dans les colonnes du JDD.
Un point de vue d’autant plus étonnant que l’OM ne paraît pas encore s’être totalement du passage de l’Orléanais.