« Il a son caractère. C’était très dur et frustrant pour lui d’être un élément capital dans son club où il a fait une très grande saison. C’est pourquoi il était là, avec moi. Il n’a pas joué avant que je le fasse entrer, même si ce n’était que cinq minutes. Ça change beaucoup de choses. J’ai vu son bonheur et ses larmes de joie à la fin. Il est champion du monde. Il est très attachant et très respectueux en plus de ses qualités footballistiques et de l’énorme saison qu’il a réussie. Il n’a pas eu besoin devenir taper à ma porte, à un moment j’ai vu que ça n’allait pas. J’ai dû lui parler, lui dire certaines choses. Il rêvait d’être là, au Mondial, je pense même que ça l’a miné sur sa fin de saison. Il y est et après, il voulait jouer comme les 22 autres. C’est naturel. Son caractère est une qualité en plus, mais ce n’est pas ça qui fait la différence. Ce n’est pas un béni-oui-oui. Je l’ai vu énervé, parfois », a lancé le coach de l’équipe de France dans La Provence.