« Après le Brésil, il y a quatre ans, je trouvais que notre place était dans les quatre, cinq, premiers. On y est. On a un rôle important à jouer. L’équipe est en progrès. On doit être ambitieux. Ce n’est pas terminé », a lancé le vieux président de la FFF dans le JDD. Il assure n’avoir jamais douté : « Je sentais l’équipe progresser. On disait qu’on avait un groupe facile, mais il n’y a pas de petites équipes. La France était jugée trop sévèrement par les observateurs, pas toujours neutres. Dire du bien, ça ne marche pas, alors il vaut mieux trouver ce qui ne colle pas. »
« Je n’ai pas beaucoup craint ce match »
Et s’est enfin réjoui d’avoir reconduit le contrat du sélectionneur : « C’est normal. On ne peut pas vivre avec des doutes. Surtout dans un domaine où un tir sur le poteau change la vie. Si vous n’avez pas une position très claire en tant que leader, ça perturbe tout le monde. Pour tout dire, je n’ai pas beaucoup craint ce match. Il avait tellement été travaillé… »