« Ça faisait presque un an qu’on ne s’était pas parlé. Je lui envoie des petits messages de félicitations, parfois. Mais des conseils, vous n’y pensez pas. Jamais je ne me serais permis de lui en donner. Après, il y a un truc que je sais, c’est que comme moi, en 1998, ça fait trois mois qu’il ne dort plus », a lancé l’ancien sélectionneur dans les colonnes de L’Equipe.
Il est particulièrement confiant : « Je vois l’équipe de France aller très loin. Au moins en demi-finales, facilement. Si on n’a pas de malheurs, de blessés. Quand je vois la qualité de ces joueurs, de ces attaquants… »