Dans les colonnes du Parisien, le président phocéen a évoqué les changements survenus, depuis l’arrivée de Frank McCourt : « Nous avons, depuis un an, effectué un très gros travail pour mettre fin à des pratiques inacceptables et assainir l’environnement du club, un travail dont tous les observateurs avisés de l’Olympique de Marseille se sont fait l’écho depuis notre entrée en fonction », a-t-il déclaré.
Le journaliste du quotidien, Jean-Michel Décugis, semble apprécier de laisser des zones d’ombre et s’interroge encore sur la présence de deux salariés et sur le rôle d’un ancien joueur, lequel a notamment joué le rôle d’intermédiaire « pour que Jean-Pierre Bernès devienne l’agent du joueur Florian Thauvin ». Il faut bien maintenir la touche sulfureuse du club marseillais…
En réalité, le club paraît très sain, au moins depuis l’arrivée des nouveaux dirigeants. Et les guerres d’agents, qui prennent très vite des allures de polar noir façon Borsalino, à Marseille, n’intéressent pas les journaux quand elles se font à Lyon ou Paris. A quand un reportage sur les environnements des autres clubs ?