« Arema a rompu des discussions qui n’avaient plus lieu depuis deux mois. Nous attendions leur réponse à une proposition que nous leur avions faite et nous ne l’avons pas eu donc cette annonce n’était pas une surprise. Notre position n’a pas varié, l’OM doit devenir l’opérateur du stade Vélodrome comme le sont la quasi-totalité des clubs de référence en Europe », a-t-il expliqué dans les colonnes de Challenge.
Les fans de l’OM ne sont pas là pour enrichir Arema
« Dès notre arrivée nous avons commencé à travailler sur le sujet avec le cabinet d’architecte américain HKS. Nous y sommes prêts même si l’intérêt supérieur du football français et marseillais n’est pas d’en arriver là. Les Marseillais ne sont pas là pour assurer à un fonds de pension un rendement de 15 % sur son investissement, et ce n’est pas mon mandat. Mon job, c’est d’investir comme un entrepreneur dans un stade qui peut être amélioré de manière importante », a-t-il ajouté.
Le patron olympien semble très déterminé.