« C’est un juste retour des choses. Je ne me suis jamais senti coupable, je n’ai jamais considéré avoir perdu mon honneur. Je pense qu’il y a eu une sorte d’amalgame, dont j’ai été victime. C’était une situation qui m’agaçait. Tout cela me replace comme un président de l’OM qui a travaillé dans la moralité et la légalité », a-t-il déclaré auprès de Reuters.