« Le travail que j’effectuais à Bilbao était différent de celui que je faisais à Barcelone. Dans chaque club, il faut s’adapter au projet. Je dis souvent que le directeur sportif est quelqu’un qui fait du ski, avec le business d’un côté, et le temps de l’autre. Il faut un bon équilibre », a-t-il déclaré (propos recueillis par La Provence). Le Basque note également des différence entre les formations espagnole et française : « Je ne veux pas changer la France. Mais j’ai été surpris par un point en arrivant. Ici, on dit que la préformation s’arrête à seize ans. Or on se forme durant toute sa carrière, jusqu’à son dernier match. »
Zubi a également lâché quelques mots au sujet des instances. Il n’a pas compris pourquoi la commission avait mis autant de temps à étudier les incidents qui ont émaillé la fin du match OM-Lyon : « Ça va un peu plus vite en Liga. Il aurait été plus normal que le dossier OM-Lyon soit jugé dans la semaine qui suivait », a-t-il lancé.