« A Séville, on a gagné parce qu’on était une équipe, pas parce qu’Adil Rami jouait là-bas. Je ne peux rien leur apporter, à part répéter qu’il faut être un vrai collectif, et qu’il faut donner 100 % », a-t-il indiqué à L’Équipe.
« se préparer mentalement à souffrir encore »
Il souligne l’importance du travail : « Je fais très attention au goût de l’effort. Dans les moments compliqués, sur un match comme sur un entraînement, se dire qu’il faut accepter que ce soit difficile et continuer à y croire. On a fait un long chemin jusqu’à la finale, on a souffert dans tous les sens du terme, il va falloir se préparer mentalement à souffrir encore. Mais sans oublier de prendre du plaisir et de profiter du moment. Cela n’arrive pas tous les ans », a-t-il ajouté.
Le natif de Bastia dispose d’une belle expérience européenne, puisqu’il a disputé 25 rencontres de Ligue des Champions, 50 de Ligue Europa et 2 de Super Coupe. Il compte également 33 sélections sous le maillot de l’équipe de France.