« Je ne peux que déplorer l’image négative que de telles discussions peuvent engendrer. Je rappelle qu’il faut faire preuve de dignité, de retenue, d’exemplarité, notamment vis-à-vis de la jeunesse, a-t-elle lancé à l’AFP. Il faut raison garder, mais c’est compliqué dans un univers où la tension sportive est très forte, a-t-elle déclaré. Je ne rentrerai pas dans le débat de cette guérilla. J’ai beaucoup d’estime et de respect pour les deux présidents, qui ont des parcours et des profils différents. À trois semaines de la fin du championnat, la tension sportive est extrême. J’appelle au calme. »
La polémique qui suit les sanctions prononcées à l’égard d’Adil Rami et Anthony Lopes (trois matchs fermes chacun), ainsi que du possible dépôt de plainte de Jean-Michel Aulas contre Jacques-Henri Eyraud, paraît être une belle occasion de faire le ménage dans les instances. Espérons qu’elle soit saisie.