« On sait qu’il est un petit peu fragile. Quand j’ai vu son visage en entrant sur la pelouse, je l’ai senti très crispé, a confié le Corse dans les colonnes de L’Equipe. Je transpirai pour lui. Il m’a fait peur d’entrée en ratant ses deux premiers dégagements au pied. Mais il s’est très bien repris. Il a été là et il m’a un peu fermé le clapet. Sa prestation m’a surpris et enchanté. Il a fait ce qu’il a eu à faire et si l’OM n’a pas encaissé de but, il y est pour beaucoup. Bravo à lui. »
« Garcia, c’est un peu le Zidane de l’OM »
L’ancien gardien de but a également commenté le travail de Rudi Garcia : « Cela a été la réussite totale avec ce but de Clinton Njie qui marque juste après son entrée en jeu. Rudi Garcia, c’est un peu le Zidane de l’OM. Avant l’entrée en jeu de Njie, je me disais qu’il fallait quelqu’un qui perfore, qui percute. Je pensais qu’il allait même faire rentrer Valère Germain plus tôt pour tuer cette défense qui n’a jamais fermé le jeu. »
Et de conclure sur le match retour : « Salzbourg va attaquer et se livrer. Marseille devra jouer comme ce soir. Avec deux buts d’avance, il ne faut pas commencer à reculer et fermer le jeu, sinon ils risquent de se prendre la porte dans la figure et de ne pas passer. »
