« Si le plus dur est fait ? Non, pas du tout. Pour moi, ça reste du 50/50. Si on partait en Autriche avec un avantage de quatre buts, oui, on pourrait penser que le plus dur a été fait, mais là, deux buts, ça peut aller vite dans l’autre sens. S’ils ont la chance de marquer chez eux dans la première demi-heure, vous imaginez, ça leur laisse encore une heure pour revenir à égalité ! Donc, non, ce n’est pas fait du tout. Il faut vraiment que les joueurs marseillais se mettent dans la tête que c’est du 50/50 », a déclaré le père de Valère lors d’un entretien accordé à So Foot.