« Dans les discussions en vue d’une arrivée, j’ai rarement rencontré un joueur aussi réceptif, curieux, entreprenant, avide de connaissances : la nourriture locale, l’adresse du consulat du Japon, les avantages comparés de vivre à Cassis ou à Aix… Il s’est vite construit un relationnel japonais sur Marseille tout en anticipant le changement d’environnement. Son adaptation difficile en Allemagne, à Hanovre en 2012, l’a marqué. Sa femme, par exemple, ne pouvait pas conduire et s’était coupée de l’extérieur. Il a été très soucieux de son autonomie, cette fois », s’est souvenu l’ancien responsable de la cellule de recrutement dans L’Equipe.
« Sakai est devenu un personnage fédérateur »
Il pense que son intégration a été réussie : « Hiroki est une mine d’or pour l’OM, on peut toujours compter sur ses efforts sur le terrain, et en dehors, il permet au groupe de vivre autour de lui. Beaucoup plus qu’un sujet de plaisanterie, il est devenu un personnage fédérateur. »