Le club phocéen affiche des revenus, hors mutations, de 108,8 millions d’euros, dont 49,7 millions d’euros liés aux droits TV, 30,7 millions aux sponsors et 13,9 à la billetterie. La masse salariale a notamment atteint 87,7 millions d’euros et le résultat, avant lutations, est très négatif (-45,7 millions d’euros). Plus d’informations sur le document publié par la LFP.
Il y a fort à parier que la situation olympienne sera encore un peu plus négative, cette saison. Elle est évidemment prévue par les dirigeants. D’autres clubs présentent de beaux déficits : Le PSG (-18,8 millions d’euros) et Bordeaux (-14,5 millions d’euros). Et Lyon n’a été sauvé que par ses transactions estivales (+4,9 millions d’euros).
« L’attractivité retrouvée du football français est confirmée par la hausse générale des recettes d’exploitation, que ce soit la billetterie, le sponsoring ou encore les droits audiovisuels. Les clubs sont désormais » acheteurs » sur le marché des transferts, c’est-à-dire en phase d’investissements », a déclaré Didier Quillot, le Directeur Général Exécutif de la LFP.
Publication du rapport financier 2016-2017
DNCG : Les résultats 2016/2017 du football professionnel français traduisent une bonne performance commerciale et un renforcement des fondamentaux.
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— LFP (@LFPfr) 13 avril 2018