L’UEFA est passé au « fair-play financier 2.0 ». Elle a intégré « deux nouveaux indicateurs » : un niveau d’endettement maximum et une balance autorisée de 100 millions d’euros, entre dépenses et ventes, sur le marché des transferts. Une petite révolution qui devrait changer la face du mercato.
L’instance sera également en mesure de réagir plus rapidement, en cas de sortie des clous, et demande « plus de transparence dans la publication des comptes des clubs ». Elle souhaite également une « harmonisation des règles comptables ».