« On me disait : « En étant gardien, tu voyais bien le jeu se développer. » C’était un atout d’avoir été gardien et presque naturel que je devienne entraîneur. Dans le but, on a l’impression de regarder un écran télé. Ça développe rapidement des notions tactiques et une approche de groupe. Ça permet d’avoir une autre analyse que le joueur de champ qui a la tête sur le ballon », a expliqué l’ancien coach phocéen (1988-1991 et 1994-1997) dans les colonnes de L’Équipe.