« Le plus méchant ? Carlos Mozer, sans hésitation. Quand il faisait face à toi, cela t’interpellait. Il avait tout : la volonté, la détente, la puissance et, surtout, lui, quand il se déplaçait, ce n’était pas pour rien. Ça déménageait, s’est souvenu l’ancien attaquant passé par le PSG dans L’Equipe.
Et de poursuivre : « À Marseille, à cette époque, il y avait des clients derrière avec Bernard Casoni, Éric Di Meco et Basile Boli. Basile, lui, cherchait plus à t’impressionner avant le match. Cela commençait dans le couloir. Il arrivait presque en transes, s’aspergeait d’eau et se plantait devant toi. Avec ses poings, il se tapait la poitrine façon King Kong. »