« S’il a fait preuve d’impatience ? C’est une certitude. Mais c’est le cas de beaucoup de jeunes maintenant. On a affaire à des sprinters alors qu’ils sont engagés dans une course de fond. Ils veulent tout, tout de suite. Beaucoup se brûlent les ailes. Il y a une telle différence entre ce que proposent les clubs français et anglais. (…) Aujourd’hui, il est bien possible qu’il gagne beaucoup plus que ce qu’il gagnait en France », a déploré Samuel Fenillat, le responsable du centre de formation des Canaris, dans les colonnes de 20 Minutes.
Poussé vers la sortie par des dirigeants marseillais en quête de trésorerie, Nkoudou n’a quasiment pas joué depuis son arrivée en Angleterre. Et même s’il s’y retrouve pour l’instant financièrement, il est probable que cela ne durera pas. Un exemple de plus pour les minots mal conseillés.