L’OM n’est pas le seul à connaître une saison difficile, en ce qui concerne l’arbitrage. Face au puissant club parisien, les Canaris ont pu se demander quelle mouche avait piqué l’homme en noir. Non content d’avoir refusé le but de l’égalisation à Sala (60e), Tony Chapron s’est fendu d’une action qui restera dans les annales. Il a adressé un carton rouge à Diego Carlos, après avoir tenté de crocheter, sur un contre parisien (91e).
« Diego tombe, on voit l’arbitre qui lui met un coup de pied par-derrière, et en plus un carton rouge et une faute pour Paris. On se demande s’il portait le maillot de Paris », a tenté d’expliquer l’attaquant nantais Yacine Bammou, après la rencontre.
Révolutionner l’arbitrage français
Les incohérences et les décisions illogiques se multiplient, cette saison. Elles rejaillissent sur le championnat français, lequel met pourtant le paquet pour tenter de rattraper le retard qu’il a pris sur ses concurrents. L’action d’hier, à l’instar du penalty accordé à Mariano Diaz, il y a quelques semaines, est raillée aux quatre coins de l’Europe.
La Ligue 1 ne peut plus se permettre d’avoir des arbitres formés aux méthodes des années soixante-dix et qui influent à ce point sur le résultat des matchs. De surcroît, le manque de transparence est évident et il semble plus que temps de se poser les bonnes questions. Leur formation est-elle au niveau ? Subissent-ils des influences ? Ont-ils besoin d’aide ?
Espérons que les instances vont (enfin) réagir et reprendre en main la direction technique de l’arbitrage.
Blimey 😳 https://t.co/e6XWBJ6Guz
— Gary Lineker (@GaryLineker) 14 janvier 2018
Seguro que se habrá disculpado el buen hombre. Ha sido espontáneo. Eso sí, para mí es agresión y roja!! 3 partidos mínimo!! #modobroma 😳😁😂 https://t.co/wRfzJZQn03
— Iker Casillas (@IkerCasillas) 14 janvier 2018
#nantespsg, clamoroso❗️ L'arbitro #Chapron sgambetta #Diego e poi gli sventola il rosso in faccia . Il motivo? Una spinta involontaria 😂. #Ranieri: "Mai visto niente del genere…" ⚽️👇https://t.co/jgxAkcDTYW
— Gianluca Di Marzio (@DiMarzio) 14 janvier 2018