« Le plus important, à mes yeux, c’est de considérer que l’arbitrage fait partie du jeu. L’arbitre peut se tromper pour toi ou ton adversaire. Puis il faut parler pour essayer de hausser le niveau de l’arbitrage et l’aider, a-t-il expliqué lors d’une interview accordée à La Provence. Mais ce type de discussions doit plus avoir lieu en privé que dans les médias. Jouer au football sans joueurs, c’est impossible ; c’est la même chose sans arbitres. J’arrive en France, je ne connais pas la culture ni la structure de ce foot-là. Je dois m’adapter et apprendre avant de faire partager mon expérience sur ces questions. »
Les statistiques sur les penalties, minimisées par Jean-Michel Aulas, paraissent notamment effrayantes.