« Son passage dans le chaudron italien (AS Rome) lui a été bénéfique. Je le trouve plus calme, un peu plus sûr de lui, de ce qu’il veut, a expliqué le capitaine de l’OM. Il a progressé aussi dans le côté meneur d’hommes. Il gueule quand il faut gueuler mais il a toujours l’analyse juste et il maintient le groupe sous pression. J’ai beau être capitaine, international, avoir coûté 30 millions d’euros, je sais que j’irai sur le banc si je ne suis pas bon. Il n’y a aucun souci avec ça, je le comprends. »