« Le froid arrive, on commence à prendre de la masse graisseuse et il y a souvent un petit coup de mou. On est donc très attentifs aux repas, aux horaires et à l’adaptation des voyages. Le sommeil est précieux et décisif pour la récupération, l’affectif et le familial, aussi : on ne peut pas enchaîner les mises au vert », a confié le préparateur physique de l’OM. Il a également évoqué le cas spécifique de Florian Thauvin, lequel multiplie les courses, sur le côté droit : « La récupération musculaire est plus importante pour lui que la récupération métabolique, domaine dans lequel il est déjà doué. On s’est préparés dès l’été : le jour où on doit “réactiver” Florian, on sait avec quel type d’exercices précisément il réagira mieux. Ça le rend à l’aise. »
Enfin, l’Italien tente de maintenir les remplaçants à niveau : « Ne rien faire, c’est le pire. Ils jouent au foot, ils ne font pas de l’athlétisme, leur moteur ne doit jamais complètement s’éteindre. »
