Le quotidien indique que « des raisons d’ordre juridique » ont influé sur la décision des dirigeants. L’employeur est effectivement tenu d’assurer la sécurité de ses joueurs, ce qui ne semble pas avoir été le cas à Guimarães. Le journal indique qu’ils ont ainsi « opté pour la négociation » et qu’une « compensation financière » pourrait avoir été versée au latéral. Certaines sources rapportent même que l’intégralité des salaires prévus jusqu’à la fin de son contrat ont été versés à l’ancien Turinois.
Par ailleurs, Evra pourrait faire appel de la décision de l’UEFA de le suspendre jusqu’au 30 juin 2018.