« Quand on sortait du Vélodrome, on était livrés à nous-mêmes », s’est souvenu l’ancien Parisien, qui a inscrit 8 buts en 58 matchs sous le maillot olympien. « À Marseille, encore plus qu’ailleurs, ça ne sert à rien de faire des grandes déclarations. Et il faut beaucoup de temps pour faire changer les gens d’avis. Je reviens donc toujours à la même chose : il n’y a que le terrain qui compte », a-t-il expliqué. Le natif de Béthune avait su se faire accepter : « Je n’ai jamais eu de problème, je suis même revenu dans la région à la fin de ma carrière, c’est donc que je n’ai pas été traumatisé. »