« On sait très bien une chose : c’est surtout Rudi Garcia qui a eu le dernier mot sur le recrutement. À Marseille, ce n’est pas comme au PSG, où Antero Henrique est le décisionnaire. Zubizarreta, c’est un brave mec, un bon gars, mais il doit quand même se dire : ‘Qu’est ce que c’est que ce job ?’ L’OM travaille à la française, pas à la méthode des Espagnols, des Italiens ou des Allemands. Quand c’est l’entraîneur qui a la main sur le mercato, ce n’est pas bon : le joue où il n’est plus là, qu’est-ce qui se passe ? Garcia a une politique de court terme, il s’en fiche de jouer avec des trentenaires », a-t-il lancé dans les colonnes du quotidien.
Sous réserve que l’information soit vérifiée, le fonctionnement olympien pose effectivement question. Rudi Garcia semble avoir pris ses responsabilités et celles des autres, cet été. Mais après l’énorme défaite concédée à Monaco (1-6), il se trouve déjà dos au mur et n’a personne derrière qui se cacher. Il n’aura vraiment pas le droit à l’erreur, dimanche soir.