« Avant mon arrivée au Genoa, il m’a envoyé un message, il m’a parlé dès mon premier jour là-bas, s’est-il souvenu. Le Genoa, c’est une grande famille, un club que j’ai aimé, dans lequel je me suis tout de suite senti important. Pour revenir à Burdisso, il a 36 ans mais il a 8 % de masse graisseuse, est très sérieux, il a gagné la Copa Libertadores, la coupe Intercontinentale, j’ai plus appris avec lui en six mois qu’en cinq ans en Europe à plusieurs niveaux : le professionnalisme, l’alimentation, l’entraînement… Lui, il s’entraîne cinq fois plus que la moyenne des joueurs et il m’incitait à travailler beaucoup plus. Et grâce à lui, j’ai remarqué que plus mon corps travaillait, meilleur j’étais en match et aux entraînements. »