« C’était un combat, on a usé de qualités morales, mais c’est vrai qu’on doit être capable de faire mieux, de garder le ballon. La Bulgarie a mis beaucoup d’agressivité, on a répondu dans le combat, mais au niveau du jeu, c’était plus laborieux, a confié le sélectionneur après la rencontre. Pas fébrile, parce qu’on n’a pas concédé d’occasions, même s’il y a eu quelques coups de pied arrêtés. La France ne s’était jamais imposée ici (depuis 1932, Ndlr), les quatre autres équipes se sont cassées les dents ici. On voulait les trois points pour avoir les cartes en mains. Les valeurs morales, je ne vais pas m’en satisfaire, mais c’est quelque chose d’important dans un contexte d’intensité et d’agressivité. On est capables de mieux faire, on n’a pas rendu le match plus simple, parce qu’on n’avait qu’un petit but d’avance, mais on a su le préserver. »