« Mes chers amis. J’ai vu vos banderoles, j’ai entendu vos chants de soutiens. À certains moments, j’ai même pu voir vos regards, a-t-il déclaré à La Provence. Merci de cette formidable sympathie, qui m’est d’un profond et inégalable réconfort, car tout ce qui, à l’intérieur de moi agit contre mon corps, est moins fort que ce que j’ai vu ce soir-là dans vos coeurs. Soyez assurés que le match n’est pas perdu avec toujours la même espérance, pour ma vie bien sûr, mais pour notre club, pour notre ville, pour notre région, il faut gagner. Merci. »