« À l’entraînement, on faisait un cinq contre cinq et mon équipe prenait l’eau, s’est souvenu le latéral droit. Dans mon équipe, il y avait Valbuena, Dédé Gignac et deux joueurs de la réserve. On prenait l’eau comme pas possible, on perdait tous les matchs. Et Dédé Gignac, dès qu’il avait la balle, boum ! Il frappait. Au bout d’un moment, je le regarde, je lui dis : « Dédé, depuis tout à l’heure on perd, t’en a pas marre de perdre ? » Il me sort un truc et moi, je lui ai dit : « Écoute, au lieu de faire le mariole devant tout le monde, si tu es un homme, viens, on va dans le vestiaire. » Le coach de l’époque, c’était José (Anigo), il était un petit peu surpris. Du coup, j’enlève le chasuble, je le pose par terre, et je me dirige vers le vestiaire. Dédé Gignac vient, on va dans le vestiaire, on s’en met une, bien, on finit de se battre et on repart sur le terrain. Comme si de rien n’était. On joue et, bizarrement, on gagne le tournoi. Après, on était vraiment proche avec Dédé. Il me prenait comme son petit frère. Il me donnait des conseils. C’est pour dire, ce n’est pas parce qu’on se bat, qu’on s’embrouille, qu’il faut forcément se prendre la tête et rester dans son coin comme des petits gamins. »
💥 "Suis-moi si t'es un homme !" 😵😂 L’embrouille entre Gignac et Dja Djédjé qui s'est finie par une baston dans #levestiaire ! 😱 #TeamOM #OM pic.twitter.com/2dqpfHLT3m
— SFR Sport (@SFR_Sport) 26 septembre 2017