« La qualité de jeu, la qualité intrinsèque des joueurs n’est pas là. Une question de recrutement ? Oui, car il y a des joueurs qui ne peuvent pas jouer à Marseille. C’est trop dur, la pression est trop forte, et on les voit plonger », a-t-il lancé dans les colonnes d’Onze Mondial. Et de poursuivre : « J’en parle avec Éric Di Meco, avec Rolland Courbis, il faut avoir une certaine maturité, il faut en avoir dans le pantalon, parce que c’est compliqué. Dès que tu perds un match, on va te casser les couilles. Il faut avoir du cran pour ne pas tomber. »
Comme Christophe Dugarry, Leboeuf a parlé trop vite. On peine de toute façon à croire que d’anciens pros n’aient pas conscience qu’un mercato ne se juge pas en septembre ou octobre. Rendez-vous d’ici quelques mois pour une évaluation objective, messieurs.