L’Argentin lui a répondu, mercredi : « Un ancien dirigeant de Marseille (Luc Laboz, Ndlr) a dit l’autre jour que j’avais quitté Marseille car j’étais écrasé par la pression mise sur le poste d’entraîneur de l’OM, a-t-il rappelé. Quand j’ai démissionné, ce dirigeant du club, qui après le match était alcoolisé et dont je ne me souviens plus du nom, a commencé à crier sur mes collègues ‘Mexique !, Mexique !, Mexique !’ Le président de la fédération mexicaine m’a appelé, oui, et il s’est offusqué parce que je n’ai pas répondu à son appel. Je ne l’ai pas fait, justement pour qu’il n’y ait pas la moindre possibilité que quelqu’un puisse lier ma démission de l’OM avec une autre possibilité de travail. »