Passé par le club olympien de 2005 à 2007, Mickaël Pagis se souvient notamment de Mamadou Niang. À vrai dire, on ne se parlait pas énormément, mais sur le terrain, c’était fort. On savait comment allait réagir l’un ou l’autre, on était très complémentaires, a lâché l’ancien attaquant marseillais avant de parler de la relation privilégiée qu’il entretenait avec deux autres joueurs. Dans le vestiaire, il y avait Franck Ribéry. Un mec qui met l’ambiance, un déconneur. Sur le terrain en revanche, il est là pour montrer sa hargne, sa niaque. Ce sont des qualités que j’aimais. Dans les cadres, il y avait Cédric Carrasso avec lequel je parlais souvent. Dans les clubs, j’ai souvent eu des affinités avec les gardiens, a-t-il poursuivi.