« J’ai rencontré Marcelo une seule fois, c’était à Coverciano (en mars 2015, El Loco, alors entraîneur de l’OM, a fait une intervention devant les techniciens italiens). On n’avait pas beaucoup parlé, mais on a évoqué Francesco Totti. Je ne le connais pas bien, je ne peux qu’avoir une idée d’après ce que je lis sur lui », a-t-il confié au journal. Il connaît davantage le technicien italien : « Pour Claudio, c’est différent. Je le connais un petit peu mieux, car il est italien et que j’ai passé trois ans là-bas. Et puis, aussi, par le fait qu’il a réussi quelque chose de fantastique avec Leicester. Ce qu’il a fait est énorme ! Mais ce qui est terrible, même si ça permet de relativiser, c’est que sa statue n’était pas encore sèche qu’il était déjà débarqué… Ça remet les choses en perspective dans cette société un peu Kleenex, où l’on ne laisse du temps à personne, où tout doit aller vite. Quand on a la chance d’avoir un Claudio Ranieri qui vous fait devenir champion d’Angleterre, c’est juste miraculeux. Donc non seulement on lui fait une statue, mais on lui offre un contrat à vie ! »