« La standing-ovation de janvier ? J’en ai encore des frissons aujourd’hui quand j’en parle. Je m’étais dit que je rentrais à la maison, j’ai été accueilli d’une manière exceptionnelle. Les gens étaient contents de me revoir. Cela m’a fait plaisir car je me suis battu pour les revoir aussi ! C’est une belle histoire. C’est exceptionnel d’être dans le club le plus populaire de France », a-t-il déclaré.
Il se rappelle également de l’ambiance de l’Euro : « Je pense que l’histoire du come-back a peut-être démarré à ce moment-là, quand j’ai fait ce geste-là (contre l’Albanie, Ndlr). Je me suis dit : « Qu’est-ce que je suis bien dans ce stade ! Il me manque ». Inconsciemment, ce manque a alors commencé à me travailler. Ce match face à l’Albanie, cette demi-finale contre l’Allemagne, ça compte. On en est à se poser la question : ‘Est-ce qu’on n’aurait pas gagné la finale si on l’avait disputée à Marseille ?’ Cela montre comment les gens voient le Vélodrome aujourd’hui. »