« Rudi Garcia aura un très bon terrain. Je suis allé moi-même vérifier la pelouse dans sa gazonnière. (…) La gazonnière de Bordeaux a un peu les mêmes conditions climatiques que nous donc la pelouse va très bien s’acclimater. Après on fera ce que l’on fait classiquement : fertilisation, luminothérapie, etc.. », a expliqué Martin d’Argenlieu, le directeur de l’Orange Vélodrome. Il concède que la pelouse sera fragile, mais pense que le football est moins exigeant que le rugby : « En 48 heures, la pelouse ne va pas s’enraciner, on est d’accord. Mais en fait on fait une couche de plaquage assez épaisse, sur 4 centimètres, donc la pelouse ne bouge pas. Là, on prépare un match de football donc il n’y a aucun problème ; ça aurait été un match de rugby ça aurait été plus compliqué », a-t-il ajouté au micro de la radio.
Comme très souvent avec le Stade Vélodrome, l’OM est le dindon de la farce. Espérons notamment que nous n’aurons à déplorer aucune blessure liée à l’état de la pelouse.