« Puma a décidé de se recentrer autour du sport », a-t-il expliqué. Puma était à l’affût d’une belle opportunité : « J’étais à l’écoute depuis un moment de ce qui se passait en France. L’OM est l’un des deux clubs majeurs. On peut même dire que sur les 50 dernières années, c’est le club majeur, le seul avec une étoile. Dès que l’appel d’offres s’est ouvert, je me suis montré très intéressé. L’OM va au-delà du football, il est très proche de nos valeurs : la rébellion, l’irrévérence, cette envie de perturber en permanence l’ordre établi, de faire les choses différemment. (…) Je ne me suis pas posé la question de la chasse gardée. J’ai juste demandé comment on pouvait devenir le prochain équipementier de l’OM. »
Il n’a pour autant pas communiqué le montant de l’accord : « Puma ne commente jamais les chiffres qui circulent. On a trouvé un bon contrat, profitable au club et à Puma. (…) On a bâti un business plan ensemble, on a des ambitions fortes. On veut aider le club à avoir des équipements de plus en plus performants et les plus visibles possibles auprès de ses fans. » À la différence de Bordeaux ou Rennes, il y aura « une résonance internationale » : « Arsenal ou Dortmund. L’OM sera traité au même niveau que ces deux clubs. Quant au traitement créatif, laissez-nous vous surprendre comme on a su le faire lors de la campagne de communication en ville. On a déjà montré notre capacité créative, on va continuer », a-t-il notamment ajouté.