« Patrick Blondeau, de Marseille. On s’est pris la tête ! Il faisait des tacles d’assassin. À l’époque, hélas, il n’y avait pas la surveillance des caméras. Les défenseurs se sentaient autorisés à donner un bon coup. Les consignes de certains entraîneurs, c’étaient : « Premier coup, boum ! » Lors des matches joués avec Monaco contre l’OM, le premier coup que prenaient des joueurs comme (Ludovic) Giuly, (Marcelo) Gallardo ou moi, c’était de la gorge jusqu’à la tête ! », a-t-il lancé au quotidien.