« Il y a eu quelques déclarations, surtout des dirigeants, avant le match qui aurait pu être évité, a-t-il estimé. Je pars du principe que quand tu fais ce type de déclarations, c’est que tu as peur, quand tu es sûr de toi, tu ne dis rien et tu laisses parler l’autre. Il n’y a pas vraiment débat. Le cucul il est rouge. Et tu as du mal à t’asseoir. À Paris en ce moment, ils sont en mission, et dimanche soir, tu peux me parler de 4-4-2 de 4-3-3, de 4-2-3-1, de tout ce que tu veux, ils auraient pris une branlée quoi qu’il arrive. »