« Barthez, c’est un bon soldat ! Il est blanc, pas très intelligent, il ne fait pas trop d’histoires, il a été le chouchou à une époque mais aujourd’hui, on ne l’appelle pas pour parler de football », a-t-il balancé au magazine. Et d’ajouter : « Avec Fabien, on s’entendait bien sans être potes. Les gens ont monté ce truc (de la rivalité, Ndlr). Barthez a été un symbole de la lutte anti-Lama : des joueurs voulaient me sortir et des médias ont joué le jeu de Barthez. »
Des propos à prendre avec le sourire, car un complexe de supériorité va de pair avec un manque de confiance en soi. Cette sortie est certainement le résultat d’une énorme frustration, peut-être liée à son statut de numéro deux, en 1998.