« En 1991, c’est à cause de moi qu’on perd la finale de la Ligue des champions. J’en avais tellement fait que les joueurs avaient joué trois fois le match dans leur tête, s’est-il remémoré. Quand on gagne en 1993, j’ai fait venir les femmes, elles ont dormi avec leurs mecs. La veille, on faisait du tennis-ballon, on a l’a pris comme une fête, un moment fabuleux. Contre Paris dimanche, l’événement était trop fort à assumer et les joueurs ont joué avec le frein à main. »