« Il n’y a plus la même rivalité. Ça reste des gros articles dans les journaux, mais quand je vois les joueurs s’embrasser sur la pelouse avant le match et rigoler les uns avec les autres… C’est dommage et ça m’énerve un peu, a-t-il expliqué au média. Si tu perds au Vélodrome et que tu fais ça, tu ne respectes même plus ton public, qui ne bande quasiment que pour ce match. Quand tu n’es plus déçu de perdre un match comme ça, c’est que ça ne te fait plus bander et ce n’est plus le même amour du maillot. Nous à l’époque, le match se jouait à la veille. On se demandait qui on allait choper. Dans les vestiaires, tout commençait dans le couloir. Il y avait des bousculades, des gifles qui partaient. Et tout ça est vrai. »