« J’avais fait des déclarations qui avaient été sorties de leur contexte, qui me valaient de belles réceptions à Marseille. J’avais dit que les Marseillais s’étaient comportés comme des voyous. Ensuite, chaque fois que j’allais dans le Sud, même à Martigues, c’était chaud. On me jetait toutes sortes d’objets. Le plus marquant, c’était en 1998, au Vélodrome (0-0). Ce jour-là, j’ai reçu 2 000 balles de tennis sur la tête ! Ça ne m’a pas touché. Dès que l’arbitre a donné le coup d’envoi, tout le virage s’est mis à lancer des balles sur le terrain. Je n’ai jamais eu peur de jouer, mais c’était parfois chaud », a-t-il lancé au quotidien.